« Mes meilleurs moments, je les ai passés en forêt. » - Étienne Lacombe.
« Je garde un souvenir impérissable d’un séjour, dans le coin de Senneterre, avec mon père et mon beau-frère. Nous sommes réunis, nous passons du temps ensemble, finalement. C’était un matin, assez tôt, on pêchait tranquille et on a vu au loin dans la brunante, une femelle orignal et ses petits veaux. Tranquillement, nous les avons approchés, les observant manger sur le bord du lac. Le matin se levait doucement, la nature était au rendez-vous. Environ une demi-heure plus tard, quelques beaux dorés étaient au bout de nos lignes! Assez fantastique comme expérience!
« Je trouve que les pourvoiries sont des options très plaisantes pour plusieurs raisons. D’abord parce que la pêche est accessible. Moi je n’ai pas de chaloupe, je ne suis pas équipé, pas de gros bateau. Ce que j’aime beaucoup, c’est d’aller chez les professionnels. Ils connaissent leur lac, me fournissent tout l’équipement dont j’ai besoin. Ils sont capables de me conseiller, de m’indiquer où pêcher sur leur lac. Il existe tellement de lacs dans la région, il peut être difficile de trouver l’endroit parfait pour pêcher, tandis que les pourvoiries, c’est un clé en main. On n’a pas besoin de se casser la tête avec un paquet de trucs. Je m’en vais là, je suis bien logé, bien servi, c’est une expérience en soi! »
Étienne est né à Rouyn-Noranda le 8 mai 1977. Il a fait ses études d’abord en ébénisterie à Québec puis, en charpenterie-menuiserie au Centre Polymétier de Rouyn-Noranda. Il y enseigne depuis maintenant 10 ans. Étienne aime la pêche, mais il est surtout un passionné de moto et un mordu de chasse. Pour lui, l’Abitibi-Témiscamingue est un vaste terrain de jeu.