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La saison touristique estivale soumise aux intempéries en Abitibi-Témiscamingue

Rouyn-Noranda, mardi 28 octobre 2014 – Après avoir analysé les données recueillies auprès d’une trentaine de ses membres, Tourisme Abitibi-Témiscamingue (TAT) dresse un bilan partagé de la saison touristique estivale 2014.

Les festivals et événements continuent d’être un moteur attractif en Abitibi-Témiscamingue. Les statistiques d’achalandage sont positives, se maintiennent en général, si elles n’augmentent pas légèrement. Il faut noter les performances du Festival de la relève indépendante musicale en Abitibi-Témiscamingue (2 500), le Festival d’humour de l’Abitibi-Témiscamingue (21 000) et le Festival de musique émergente en Abitibi-Témiscamingue (24 000).

« C’est de plus en plus ce qui motive les gens à se déplacer dans la région. L’offre est très diversifiée, les organisations rivalisent d’originalité. Elles nous font rayonner à travers le Québec, le monde et c’est une grande fierté de se démarquer de cette manière » de lancer la directrice marketing de TAT, Stéphanie Lamarche.

Les caprices de dame nature sont certainement derrière la diminution observée de la fréquentation des sites et activités en plein air. Ainsi les campings enregistrent une légère baisse. Certains membres sondés se questionnent aussi sur la manière de présenter les prévisions météo dans les médias québécois. Les prévisions étant souvent plus pessimistes qu’en réalité.

Les sites couverts ont quant à eux tiré leurs épingles du jeu en maintenant de manière générale leur achalandage. Le taux d’occupation de nos établissements d’hébergement a légèrement fléchi au cours des mois de juin, juillet et août. En somme, les statistiques se maintiennent.

« Une chose est sûre, les sites, les attraits,et les événements qui diversifient leurs activités et qui innovent tirent bien leur épingle du jeu. Les visiteurs ont soif de nouvelles expériences. Notons les exemples du Refuge Pageau, du Musée minéralogique de l’Abitibi-Témiscamingue, du T.E Draper, de l’Église orthodoxe russe et du Camp Spirit Lake » de préciser Mme Lamarche.

Les visiteurs ont été moins nombreux à se rendre dans le réseau des lieux d’accueil. C’est une tendance
observée depuis quelques années à travers le Québec. Quoi qu’il en soit, autour de 17 000 personnes se sont rendues à l’un ou l’autre des huit points de services du territoire. Les vacances se planifient maintenant sur le Web.

De là l’importance d’y être très présent. Tourisme Abitibi-Témiscamingue répond aux besoins des
consommateurs avec un site Web simple, complet et efficace. Il a généré près de 45 000 visites durant la
période estivale. TAT a aussi mis beaucoup d’efforts pour maximiser l’utilisation de son blogue qui, à lui seul, a généré près de 10 000 visites. Près d’une cinquantaine d’articles, visant à faire connaître la région, ont été mis en ligne.

La présence de TAT sur les réseaux sociaux est aussi plus soutenue. La vidéo « C’est beau comme c’est
vrai », du réalisateur Dominic Leclerc, a pu, grâce à cela, être visionnée près de 15 000 fois.

Par ailleurs, la région suscite la curiosité des médias. TAT a reçu dix-sept journalistes dans les dernières semaines.

Ceux-ci étaient assignés par des médias du Québec, de l’Ontario, des États-Unis, de la France et de la
Belgique.

« Ce n’est pas une année à tout casser, mais il n’y a pas d’inquiétude à y avoir non plus, maintenant que nous sommes une véritable région touristique. Notre offre nous ressemble, se diversifie, se structure, suscite la curiosité. Nous nous devons de saluer le travail des intervenants touristiques qui, par leur passion, leur dévouement, leur authenticité et leur originalité permet à l’Abitibi-Témiscamingue de se positionner comme une destination incontournable » de conclure le président de Tourisme Abitibi-Témiscamingue, Émilien Larochelle.

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Source :
Anne-Marie Belzile
Responsable des communications, relations de presse, Web
(819) 762-8181 poste 110
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